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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
Texte
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Mandements de Mgr Dombidau de Crouseilhes
Type
The nature or genre of the resource
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Subject
The topic of the resource
Lettres pastorales
Description
An account of the resource
<p>Ce recueil contient les documents suivants :</p>
<p><em>Instruction Pastorale de M. l’évêque de Quimper au Clergé et aux Fidèles de son Diocèse, </em>A Paris, chez Le Clere, Imprimeur, an XI, [28 mai] 1803, 9 p.</p>
<p><em>Mandement pour des prières particulières pour le jour de l’Assomption de la Sainte-Vierge</em>, A Quimper, Imprimerie P.M. Barazer, An XI, [3 août] 1803, 8 p.</p>
<p><em>Procès-verbal de la prestation de serment des Vicaires généraux, Chanoines titulaires et honoraires, Curés du Diocèse de Quimper et Desservans des Succursales du 4<sup>e</sup> arrondissement</em>, à Quimper, P.M. Barazer [sans date], 8 p.</p>
<p><em>Mandement de M. L’Evêque de Quimper pour des Prières publiques à l’occasion de l’avènement du Premier Consul à la Dignité impériale,</em> [9 juin] 1804,</p>
<p>Contenant :</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté Impériale</em>, le premier prairial an 12.</p>
<p><em>Lettre des Vicaires Généraux à MM. Les Curés et Desservans du Diocèse</em>, 25 pluviôse an XII, [15 février] 1804.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Evêque de Quimper pour que soit chanté dans toutes les Églises, de son Diocèse une Messe solennelle et un Te Deum, en action de grâces pour la conservation des jours du Premier Consul</em>, à Quimper, P.M. Barazer, 12 ventôse an 12 [3 mars ] 1804, 3 p.</p>
<p><em>Lettre des Vicaires Généraux du Diocèse de Quimper à MM. Les Curés, Desservants et autres Ecclésiastiques</em>, [12 juillet] 1804, 4 p.</p>
<p><em>Vœux à sa Majesté Impériale</em>, 28 floréal an 12.</p>
<p><em>Les Vicaires Généraux à MM. Les Curés et Desservants du Diocèse</em>, [29 octobre] 1804.</p>
<p><em>Lettre de J.B. Cardinal Caprara,</em> [22 octobre] 1804.</p>
<p><em>Preces Pro Summo Pontifice itinérante</em>, [sans date].</p>
<p><em>Les Vicaires Généraux du Diocèse de Quimper à MM. Les Curés et Desservants du Diocèse</em>, 30 floréal an 13 [1805].</p>
<p><em>Mandement de M l’Évêque de Quimper qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en actions de grâces du Sacre et du Couronnement de Sa Majesté l’Empereur </em>[24 décembre] 1804.</p>
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<p><em>Lettre de Sa Majesté l’Empereur à M. l’Évêque de Quimper</em>, [12 Frimaire] an 13.</p>
<p><em>Ordonnance pour le Jubilé accordé par N.S.P. Le Pape Pie VII à l’occasion du Concordat</em>, [mars] 1805.</p>
<p><em>Ordonnance pour le Jubilé accordé par N.S.P. le Pape Pie VII à l’occasion du Concordat</em>, Germinal an XIII [15 mars] 1805, 4 p.</p>
<p><em>Publication d’indulgence plénière en forme de Jubilé</em>, [1<sup>er</sup> novembre] 1803, 7 p.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper qui ordonne des Prières publiques pour la prospérité des armes de sa Majesté Impériale et Royale</em>, [16 octobre] 1805, 8 p.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces des Victoires remportées sur les ennemis par Sa Majesté l’Empereur et Roi</em>, [31 octobre] 1805, 7 p.</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté l’Empereur et Roi</em> [26 vendémiaire] an 14.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper qui ordonne que le Te Deum sera chanté en action de grâces de la Victoire remportée à Austerlitz, par Sa Majesté l’Empereur et Roi, </em>[28 décembre] 1805, 6 p.</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté Impériale et Royale, à Monsieur l’Évêque de Quimper</em>, [12 Frimaire] an 14.</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque aux curés suite au courrier de M. le Préfet du Finistère qui lui a adressé la liste des Conscrits, </em>[sans date].</p>
<p><em>Mandement de l’Évêque du Diocèse de Quimper pour le carême,</em> [5 février] 1806, 12 p.</p>
<p><em>Ordonnance de M. l’Évêque de Quimper portant Règlement pour l’établissement des Fabriques des Cures et Succursales de son Diocèse, approuvé par le Décret Impérial</em>, du 3 janvier 1806, [26 février ] 1806, 7 p.</p>
<p><em>Décès de M. l’abbé Gillart-de-Larchantel, Vicaire Général,</em> [27 février] 1806.</p>
<p><em>Décès de M. l’abbé Frollo, Vicaire Général du Diocèse,</em> [19 mars] 1806.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne en vertu de l’Indult de S.E le Cardinal Légat et conformément au Décret Impérial du 19 février 1806, que tous les ans, à perpétuité, le 15 août, jour consacré à la fête de l’Assomption de la Sainte Vierge, soit aussi le fête de Saint Napoléon, patron de Sa Majesté l’Empereur et Roi,</em> à Quimper, P.M. Barazer , [24 juillet] 1806, 8 p.</p>
<p><em>Établissement à Quimperlé, d’un Collège pour l’éducation des jeunes Gens, et d’un Pensionnat pour les Demoiselles, Certificats en : Mairie, </em>[20 juillet] 1806, <em>en Sous-Préfecture,</em> [11 août] 1806, <em>et du Préfet</em> [12 août] 1806, 6 p.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper qui ordonne que le Te Deum sera chanté en action de grâces de la Victoire remportée à Jenna, par sa Majesté l’Empereur et Roi</em>, [11 novembre] 1806, 6 p.</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté l’Empereur et Roi, à M. l’Évêque de Quimper</em>, [15 octobre] 1806.</p>
<p><em>Lettre Pastorale de l’Évêque de Quimper à MM. les Curés et Desservans du Diocèse sur les secours nécessaires pour l’établissement de son Séminaire,</em> [10 janvier] 1807, 11 p.</p>
<p><em>Lettre de l’Évêque de Quimper aux Fidèles pour le Carême </em>[30 janvier] 1807.</p>
<p><em>Mandement de l’Évêque de Quimper qui ordonne que le Te Deum sera chanté en action de grâces des victoires remportées sur les Russes par Sa Majesté l’Empereur et Roi</em> [1<sup>er</sup> février] 1807, 6 p.</p>
<p><em>Lettre De Sa Majesté l’Empereur et Roi, à M. l’Évêque de Quimper</em> [31 décembre] 1806.</p>
<p><em>Ordonnance de l’Évêque de Quimper relative aux offrandes dans quelques lieux qu’elles soient perçues</em> [15 avril] 1807, 6 p.</p>
<p><em>Mandement de M l’Évêque du Diocèse de Quimper au sujet de la Conscription de 1808, et qui ordonne des Prières pour demander à Dieu de faire cesser la Persécution qu’éprouve l’Église Catholique d’Irlande </em>[1<sup>er</sup> juin] 1807, 8 p.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse en action de grâces de la prise de Dantzick par les troupes de Sa Majesté l’Empereur Roi</em> [17 juin] 1807, 6 p.</p>
<p>Lettre de sa Majesté Empereur et Roi à l’Évêque de Quimper [28 mai] 1807.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces de la Victoire remportée sur les ennemis à Friedland, et de la prise de Koenisberg, par sa majesté l’Empereur et Roi </em>[9 juillet] 1807, 6 p.</p>
<p><em>Lettre de sa Majesté l’Empereur et Roi, à M. l’Évêque de Quimper</em> [15 juin] 1807.</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque de Quimper à MM. Les Curés et Desservants de son Diocèse, qui ordonne des prières pour le repos de l’Âme de son Excellence Monseigneur Jean-Étienne-Marie Portalis Ministre des Cultes, Grand-Officier de la Légion d’honneur</em> [1<sup>er</sup> septembre] 1807, 4 p.</p>
<p><em>Ordonnance de M. l’Évêque de Quimper, relative aux Offrandes dans quelques lieux qu’elles soient perçues </em>[15 avril] 1807, 6 p.</p>
<p><em>Lettre Pastorale de M. l’Évêque de Quimper à MM. Les Curés et Desservants de son Diocèse, sur le rétablissement des Missions</em> [27 janvier] 1808.</p>
<p><em>Réponse du Supérieur des Missions en Cornouaille </em>[3 février] 1808.</p>
<p>Mandement de M. l’Évêque de Quimper pour le Carême [23 février] 1808.</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté l’Empereur et Roi sur l’intention d’adresser le message au Sénat</em> [9 septembre] 1808.</p>
<p> </p>
<p><em>Message de S.M. L’Empereur des Français, Roi d’Italie, et Protecteur de la Confédération du Rhin au SÉNAT</em> [4 septembre] 1808.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper, qui ordonne que le Te Deum sera chanté en action de grâces des Victoires remportées, par nos armes, aux champs d’Espinosa, de Burgos, de Tudéla et de Somo-Sierra, et de l’entrée de nos Troupes dans la ville de Madrid</em> [21 décembre] 1808, 6 p.</p>
<p><em>Ministère des Cultes à M l’Évêque de Quimper, signé Napoléon</em> [7 décembre] 1808.</p>
<p><em>Lettre à MM. Les Vicaires Généraux de Quimper, à MM. Les Curés et Desservants du Diocèse</em> [17 janvier] 1809, 4 p.</p>
<p><em>Lettre à MM. Les Vicaires Généraux de Quimper, à MM Les Curés et Desservants du Diocèse </em>[19 janvier] 1809, 2 p.</p>
<p><em>Lettre du Ministre des Cultes Comte de l’Empire, Bigot de Prameneu, exigeant de la part des fidèles de solennelles action de grâces pour les Victoires des Armées</em> [25 avril] 1809, p. 2.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper qui ordonne qu’il soit un Te Deum en action de grâces des Victoires remportées par sa Majesté l’Empereur et Roi, sur les Armées Autrichiennes</em> [10 mai] 1809, p. 7.</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque de Quimper à MM. Les Curés demandant de remplir un questionnaire sur les Presbytères et Chapelles </em>[30 mai] 1809.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper qui ordonne qu’il soit chanté un Te Deum en action de grâces de la prise de la Ville de Vienne, par Sa Majesté l’Empereur et Roi</em> [30 mai] 1809, p. 6.</p>
<p><em>Lettre du Ministre des Cultes annonçant La Victoire des Armées</em> [13 mai] 1809, p. 7.</p>
<p><em>Ordonnance d’un des Messieurs les Vicaires Généraux du Diocèse de Quimper, en l’absence de M. l’Évêque, pour qu’il soit chanté un Te Deum en action de grâces des Victoires d’Enzersdorf et de Wagram, remportées par les Troupes de Sa Majesté l’Empereur et Roi</em> [4 avril 1809].</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque de Quimper à MM. Les Curés et Desservants ordonnant de faire des Processions et les Prières d’usage, pour demander à Dieu la cessation de la Pluie (suite à un courrier de M le Préfet </em>[26 août] 1809.</p>
<p><em>Mandement de M l’Évêque de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum en action de grâces de la Conclusion de la Paix entre Sa Majesté l’Empereur des Français et Roi d’Italie, et Sa Majesté l’Empereur d’Autriche </em>[21 novembre] 1809.</p>
<p><em>Lettre du Ministre des Cultes demandant qu’il soit chanté un Te Deum pour la Paix entre Sa majesté l’Empereur des Français et l’Empereur d’Autriche</em> [8 novembre] 1809.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper pour le Carême</em> [8 février] 1810</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque de Quimper au Ministre des Cultes, concernant le Décret Impérial</em> [22 juillet] 1810, p. 2.</p>
<p><em>Décret Impérial annonçant la Formation d’une Société maternelle et plusieurs dispositions</em> [5 mai] 1810, p.7.</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque de Quimper annonçant la réception d’un Décret Impérial de Son Excellence le Ministre des Cultes, pour l’organisation des Fabriques des Églises paroissiales</em> [24 août] 1810.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper qui ordonne des Prières dans toutes les Églises de son Diocèse, pour la Conservation des jours de Sa Majesté l’Impératrice et pour son heureuse Délivrance</em> [18 novembre] 1810, p. 6.</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté l’Empereur Napoléon annonçant la grossesse de l’impératrice</em> [11 novembre] 1810.</p>
<p><em>Discours Prononcé par Son Altesse Éminentissime , Mgr Le Cardinal Fesch, Grand Aumônier, Président du Collège Électoral du Département d’Ille et Vilaine à l’ouverture de la Session </em>[20 janvier] 1811.</p>
<p><em>Lettre de MM Les Vicaires Généraux de Quimper à MM les Curés et Desservants du Diocèse de Quimper, en l’absence de M l’Évêque, rappellent pour le prochain Carême, l’ordonnance du 8 février 1810</em> [29 janvier] 1811.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque de Quimper qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum en action de grâces de l’heureuse délivrance de Sa Majesté l’Impératrice, et de la naissance de Sa Majesté le Roi de Rome</em> [20 mai] 1811, p. 8. (Imprimerie. d’Y. J. L. Derrien).</p>
<p><em>Courrier du Ministre des Cultes, signé par Napoléon, annonçant la naissance du Roi de Rome et sa présentation au baptême, le 9 juin, jour de la Trinité dans l’Église Notre-Dame de Paris</em> [18 mai] 1811.</p>
<p><em>Lettre de MM. Les Vicaires Généraux à tous les Prêtres du Diocèse, ordonnant de dire une messe pour le repos de l’âme de l’un des Pères du Concile, Mgr l’Évêque de Feltre</em> [7 septembre] 1811.</p>
<p><em>Ordonnance de Mgr l’Évêque de Quimper pour le Saint Temps du Carême</em> [15 janvier] 1812, p. 3.</p>
<p><em>Lettre de Mgr l’Évêque de Quimper au Chef de bureau à la Préfecture, concernant la nomination de M Guillou pour la perception des pensions ecclésiastiques</em> [24 février] 1812.</p>
<p><em>Mandement de Mgr l’Évêque du Diocèse de Quimper qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces des Succès de nos Armées en Russie, et de la Victoire remportée à Mosckowa par Sa Majesté L’Empereur et Roi </em>[5 octobre] 1812, p. 6.</p>
<p><em>Ordonnance de M. l’Évêque de Quimper Relative aux Fêtes supprimées</em> [6 octobre] 1812, p. 3.</p>
<p><em>Ordonnance de Mgr l’Évêque de Quimper pour le Carême et la Translation des Fêtes supprimées </em>[5 janvier] 1813. p. 3.</p>
<p><em>Mandement de Mgr l’Évêque du Diocèse de Quimper qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces du Concordat passé le 25 janvier dernier, entre sa Majesté et Sa Sainteté, pour le rétablissement de la Paix de l’Église </em>[2 février] 1813. p. 6.</p>
<p><em>Lettre de MM. Les Vicaires Généraux de Quimper à MM. Les Curés et Desservants du Diocèse les invitant à envoyer sans délai, au Secrétariat de l’Évêché, un État exact des Chapelles et Oratoires appartenant à la commune et que vous jugerez nécessaires au Culte. Nous devons transmettre cet État à son Excellence, le Ministre des Cultes </em>[5 mars] 1813.</p>
<p><em>Extrait du Décret du </em>[22 décembre] 1812,<em> concernant les Chapelles domestiques et Oratoires particuliers</em>.</p>
<p><em>Mandement de Mgr l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces de la Victoire mémorable remportée par Sa Majesté l’Empereur et Roi, dans les champs de Lutzen, sur les Armées Russes et Prussiennes, commandées par l’Empereur de Russie et le Roi de Prusse</em> [19 mai] 1813, p. 6</p>
<p><em>Lettre du Ministre des Cultes au nom de l’Empereur et l’Impératrice-Reine et Régente demandant de faire chanter un Te Deum et d’adresser des action de grâces au Dieu des armées </em>[22 mai] 1813, p. 8.</p>
<p><em>Mandement de M l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces de la Victoire de Vurtchen en Lusace, remportée par S. M l’Empereur et Roi, sur les armées Russes et Prussienne, commandées par leurs souverains </em>[8 juin] 1813, p. 6.</p>
<p><em>Lettre du Ministre des Cultes, au nom de l’Empereur, l’Impératrice-Reine et Régente, pour appeler nos peuples dans les Églises et adresser à Dieu les prières les plus convenables dans ces grandes circonstances </em>[30 mai] 1813, p. 8.</p>
<p><em>Mandement de M l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces des Victoires remportées sous les murs de Dresde, le 26 et 27 août, par Sa Majesté l’Empereur et Roi </em>[22 septembre] 1813, p. 6.</p>
<p><em>Lettre du Ministère des Cultes au nom de l’Empereur, l’Impératrice-Reine et Régente, demandant de faire chanter un Te Deum et adresser des actions de grâces au Dieu des armées, pour demander la conservation de la personne sacrée de sa Majesté l’Empereur et Roi </em>[14 septembre] 1813.</p>
<p><em>Lettre de M. l’Évêque de Quimper à MM. Les Curés et Desservants de son Diocèse, qui rappelle le message suivant : pour maintenir le bonheur et la tranquillité qui règnent dans toute l’étendue de ce vaste Empire et pour maintenir ce bonheur inappréciable ils sont appelés sous les drapeaux de notre auguste Empereur</em> [21 octobre] 1813.</p>
<p><em>Mandement de M l’Évêque du Diocèse de Quimper qui ordonne des Prières publiques pour la prospérité des Armes de Sa Majesté Impériale et Royale</em> [1<sup>er</sup> février] 1814.</p>
<p><em>Lettre du Ministère des Cultes souhaitant qu’à réception de la présente, les fidèles se réunissent dans les Temples du Diocèse pour adresser au Ciel les Prières consacrées par l’Église </em>[24 janvier] 1814, p. 7.</p>
<p><em>Ordonnance de M l’Évêque de Quimper pour le Carême</em> [1<sup>er</sup> février] 1814, p. 2.</p>
<p><em>Mandement de M. l’Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu’il sera chanté un Te Deum en action de grâces du Rétablissement de la Paix et de l’Auguste Famille des Bourbons sur le Trône de France </em>[15 avril] 1814, p. 7.</p>
<p><em>Mandement de M. l'Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu'il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces de l'Entrée de Sa Majesté Louis XVIII, dans la Capitale de son Royaume,</em> [10 mai] 1814, p. 3-8.</p>
<p><em>Lettre du Commissaire de Sa Majesté, Louis XVIII, au département de l'Ouest. Il informe le Clergé de la Bretagne que Sa Majesté Louis XVIII, est au courant de la pureté de son zèle et de ses vertus pastorales et comme un gage de sa satisfaction, il éprouve le désir d'améliorer son sort. (J'attends encore de votre zèle, le soin d'instruire vos paroissiens, d'engager aussi les militaires de tous grade qui se seraient retirés dans votre commune afin qu'ils puissent rejoindre leurs corps sans aucun retard).</em> [4 mai] 1814.</p>
<p><em>Lettre de M. l'Évêque du Diocèse de Quimper, annonçant que son Excellence , Le Ministre de l'intérieur et des cultes demande de lui adresser un état des biens et revenus des Fabriques des Paroisses,</em> [7 juin] 1814.</p>
<p><em>Mandement de M. l'Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu'il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, en action de grâces de la Paie conclue entre Sa Majesté Louis XVIII et les Puissances alliées, </em>[6 juillet] 1814.</p>
<p><em>Ordonnance de M. l'Évêque de Quimper, il sera célébré un Service solennel pour Louis XVI, pour la Reine, pour Le Roi, leur fils, pour M. de Élizabeth et pour Mgr Le Duc d'Anghien, </em>[suivi] <em>d'une Ordonnance de M l'Évêque de Quimper, qui ordonne qu'il sera chanté une Messe solennelle et un Te Deum en action de grâces de la rentrée du Souverain Pontife dans la Capitale de ses États, </em>[6 juillet] 1814.</p>
<p><em>Mandement de M L'Évêque de Quimper qui ordonne qu'il sera célébré un Service Solennel, le 21 janvier, dans toutes les Églises de son Diocèse, en expiation de la Mort de Louis XVI et de toutes les Personnes de son Auguste Famille,</em> [9 janvier] 1815.</p>
<p><em>Lettre de M. L'Évêque de Quimper, évoquant les fausses idées répandues, parmi le peuple des campagnes qui tendraient à persuader que les impositions doivent cesser au moment où le Gouvernement qui les avait établies, n'existe plus. Cette erreur aurait des conséquences les plus funestes. Comment les habitants de notre Diocèse, ne pourraient-ils ne pas les payer avec zèle et dévouement, quand la divine Providence nous rend un Gouvernement paternel des Bourbons ? </em>[5 avril] 1815.</p>
<p><em>Mandement de M. l'Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne que le Domine Salvum Fac Regem sera chanté dans toutes les Églises de son Diocèse. Car la divine Providence nous rend, pour la seconde fois, notre bon Roi Louis XVIII. L'on chantera pendant trois Dimanches consécutifs, à l'issue des Vêpres, le psaume Exaudiat, les oraisons Progratiarum actions et pro Rege, l'on donnera ensuite la Bénédiction du Saint-Sacrement en action de grâces du retour de Sa Majesté Louis XVIII dans la Capitale de son Royaume,</em> [17 juillet] 1815.</p>
<p><em>Lettre de M. le Dall de Tromelin, Vicaire Général, évoquant la situation de la France. Il est indispensable que la rentrée des contributions de l'année courante, et l'acquittement des taxes extraordinaires imposées, puissent ainsi sauver, une nouvelle fois, la France de l'abîme où le plus inouï, comme le plus odieux des attentats avait, de nouveau, failli la précipiter,</em> [12 septembre] 1815.</p>
<p><em>Mandement d'un de MM. Les Vicaires Généraux de Quimper, qui en l'absence de Mgr l'Évêque( que des affaires de son Diocèse ont appelé à Paris), Ordonne des Prières de 40 heures, pour réparer les outrages faits à Dieu pendant la Révolution, </em>[14 septembre] 1815. [suivi] <em>d'un courrier de l'Administration Générale des Cultes, Lettre du Roi à Messieurs les Vicaires Généraux de Diocèse, ordonnant des Prières solennelles et expiatoires,</em> [31 août] 1815. <em>Signé Louis.</em></p>
<p><em>Mandement d'un des Messieurs les Vicaires Généraux de Quimper, qui, en l'absence de Mgr l'Évêque (que des affaires de son Diocèse ont appelé à Paris), ordonne des Prières publiques et une Messe solennelle du St. Esprit, à l'occasion de la Convocation des deux Chambres, </em>[28 septembre] 1815. [suivi] <em>d'une lettre du Roi à Mgr l'Évêque de Quimper, ordonnant des Prières publiques au moment de la convocation des deux Chambres,</em> [18 septembre] 1815.</p>
<p><em>Mandement de MM. Les Vicaires Généraux de Quimper, qui ordonne qu'il sera célébré à perpétuité, le 21 janvier de chaque année, un Service solennel en expiation de la Mort de Louis XVI et de toutes les Personnes de son auguste Famille,</em> [6 janvier] 1816. [suivi] <em>d'un P.S. Dans la crainte que quelques-uns de MM. Les Curés et Desservants ne se trouvent pas actuellement en possession du Testament de S.M. Louis XVI, nous l'avons fait réimprimer pour l'ajouter au présent Mandement</em>. [suivi] <em>D'un nota, indiquant que l'on trouvera ce Testament, traduit en breton, dans le Journal administratif du Département, du Mardi 26 juillet 1814, N° 213.</em></p>
<p><em>Testament de Louis XVI, écrit par lui, lu dans la séance de la Commune de Paris, le 21 janvier. Fait double à la Tour du Temple le 25 Décembre 1792. </em>(p. 7-12),</p>
<p><em>Mandement de M. l'Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu'il sera chanté un Te Deum dans toutes les Églises de son Diocèse, pour l'Anniversaire de l'Entrée de Sa Majesté Louis XVIII dans ses États, et pour l'heureuse Alliance qui doit unir bientôt les deux branches de sa Famille, </em>[26 avril] 1816. [suivi] <em>d'une lettre de Sa Majesté Louis XVIII ordonnant que des prières publiques soient adressées au Ciel dans toutes les Églises du Diocèse, (signé Louis), </em>fait au Château des Tuileries, le [19 avril] 1816.</p>
<p><em>Lettre de Sa Majesté, Louis XVIII à Mgr l'Évêque de Quimper, le remerciant des voeux et de l'amour de ses fidèles. Fait au Château des Tuileries,</em> le [19 juillet] 1816.<em> Signé Louis.</em></p>
<p><em>Mgr l'Évêque de Quimper, ordonne que la lettre du Roi soit lue au prône des Messes Paroissiales, </em>le [28 juillet] 1816.</p>
<p><em>Ordonnance de Mgr l'Évêque du Diocèse de Quimper, pour faire célébrer, dans toutes les Églises de son Diocèse, un Service solennel en mémoire de la feue Reine Marie-Antoinette,</em> le [16 octobre] 1816. [suivi] d<em>'une lettre de sa Majesté Louis XVIII ordonnant qu'il soit célébré dans toutes les Églises du Diocèse un Service solennel, donné au Château des Tuileries,</em> le [9 octobre] 1816. [suivi] <em>d'un courrier du Ministre Secrétaire d'état au département de l'intérieur, évoquant les intentions de Sa Majesté pour la célébration d'un Service solennel,</em> le [10 octobre] 1816.</p>
<p><em>Mandement de M. l'Évêque du Diocèse de Quimper, qui ordonne qu'il sera célébré un Service solennel dans toutes les Églises de son Diocèse, pour le repos de l'Âme de S.A.R., Monseigneur le Duc de Berry, </em>[19 mars] 1820. [suivi] <em>d'une lettre de Sa Majesté Louis XVIII, évoquant l'horrible attentat dont son bien-aimé Neveu, Le Duc de Berry a été victime,</em> [13 mars] 1816.</p>
<p><em>Lettre de MM. Les Vicaires Généraux, annonçant que les Retraites des Femmes sont rétablies dans le Ville de Saint-Paul-de-Léon,</em> [18 août] 1820.</p>
<p><em>Mandement de MM. Les Vicaires Généraux dans l'absence de Mgr l'Évêque de Quimper, aux Fidèles du Diocèse, annonçant l'heureuse délivrance de Son Altesse Royale, Madame la Duchesse De Berry, et la naissance d'un Prince qui perpétue sur le Trône, les descendants de Saint-Louis et de Henri IV, et avec eux toutes les vertus royales dont ils ont été des modèles,</em> [23 août] 1820.</p>
<p><em>Mandement de MM. Le Vicaires Généraux dans l'absence de Mgr l'Évêque de Quimper, aux Fidèles du Diocèse. Il est né cet Enfant de nos désirs, de nos prières, de toutes nos espérances, ce Prince qui perpétuera sur le Trône l'auguste Dynastie qui nous gouverne, cette Famille si chère à tout coeur français, la Famille des Bourbons à laquelle nos ancêtres ont dû tant de siècles de bonheur et de gloire. Quittez vos habits de deuil, essuyez vos larmes. Que la plus pure joie succède à vos amères douleurs. Accourez, Nos très-chers Frères, dans nos Temples. A ces causes, et pour nous conformer aux intentions de Sa majesté, nous ordonnons que le Te Deum avec l'Antienne pour le Roi et pour la Paix, soit chanté en action de grâces, dans toutes les Églises et Paroisses de ce Diocèse, le Dimanche qui suivra la réception de notre</em> <em>présent mandement</em>, [3 octobre] 1820. [suivi] <em>d'une lettre de Sa Majesté Louis XVIII, annonçant le nouvelle. Château des Tuileries le</em> [29 septembre] 1820.</p>
<p><em>Discours prononcé le 14 novembre 1820 par Mgr Dombideau-de-Crouseilhes, Évêque de Quimper, Président du Collège électoral du département du Finistère. Annonçant le choix de Sa Majesté, en le nommant Président du Collège électoral du département. Vive le Roi ! Vivent les Bourbons ! Vive le Duc de Bordeaux !</em> [14 novembre] 1820.</p>
<p><em>Mandement de Mgr l'Évêque du Diocèse de Quimper, pour le Carême de l'année 1821,</em> [26 février] 1821.</p>
<p><em>Mandement de MM. Les Vicaires Capitulaires du Diocèse de Quimper, qui ordonne des Prières pour le repos de l'Âme d'Illustrisime et Révérendissime Évêque de Quimper, Pierre-Vincent Dombideau-De-Crouseilhes. Depuis 18 ans, le digne Évêque que nous pleurons, n'a cessé de répandre parmi nous la bonne odeur de Jésus-Christ. Ces grands Ouvrages, il les a conduits à travers les orages des temps mauvais. Ce digne Évêque a été tout à la fois le Pasteur de son troupeau et son modèle par les vertus de son âme. A ces causes, nous avons Ordonné et ordonnons, un service solennel dans toutes les Églises paroissiales et dans toutes les Communautés de ce Diocèse, pour le repos de notre Évêque, décédé le 28 juin dernier. On dira, aux Messes basses, la Collecte, Secrète et Post-Communion qui se trouvent aux Messes votives, pendant un mois. Ce mois écoulé, à toutes les Messes, on récitera la Collecte, Secrète et Post-Communion, jusqu'à ce qu'il plaise à la divine Providence de donner un Évêque au Diocèse de Quimper. Les Vicaires Généraux Capitulaires confirment, en tant que besoin, les pouvoirs, tant ordinaires qu'extraordinaires et autres concessions accordées par Mgr Pierre-Vincent Dombidau-De-Crouseilhes Évêque de Quimper,</em> [juin] 1821.</p>
<p><em>Mandement de MM. Les Vicaires Généraux Capitulaires du Diocèse de Quimper, qui Ordonne des Prières pour obtenir un temps plus favorable à la Récolte,</em> [23 août] 1823.</p>
<p><em>Mandement de MM. Les Vicaires Généraux Capitulaires du Diocèse de Quimper, pour faire chanter le Te Deum, an actions de grâces de l'heureuse Délivrance de sa Majesté Catholique, le Roi d'Espagne,</em> [17 octobre] 1823.</p>
<p><em>Mandement de MM. Les Vicaires Généraux Capitulaires du Diocèse de Quimper, pour chanter le Te Deum, en actions de grâces de l'Élection de S. S. Léon XII,</em> [20 octobre] 1823.</p>
<p><em>Courrier du Nonce Apostolique, Archevêque de Nisibe, à MM. Les Vicaires Généraux Capitulaires du Diocèse de Quimper, annonçant que le 28 septembre, Son Éminence Mgr Le Cardinal De La Genga, Vicaire de Rome, a été élu Souverain Pontife par le Sacré Collège réuni en Conclave, et qu'il a pris le Nom de Léon XII, </em>[9 octobre] 1823.</p>
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1805-1823
Dombidau de Crouseilhes
-
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/files/original/8294f50f56c6f0030622879345193c3d.jpg
01a2d034a19d6718802fbd775063545b
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
Description
An account of the resource
DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Peinture
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Portrait de PV Dombideau de Crousheilhes
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Évêque de Quimper de 1805 à 1823. Porte la mention "sacré en 1805, mort en 1823".
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1840
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Lefebvre Ch.
Type
The nature or genre of the resource
Objet
Dombidau de Crouseilhes
-
https://bibliotheque.diocese-quimper.fr/files/original/3ec50759df6daf58eb4a3895645db87a.pdf
2f5fb1f26e213ace7fc9f148c938d673
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Correspondance
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Manuscrit
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Lettre à une Altesse Sérinissime
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Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
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Dombidau de Crouseilhes
-
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Lettre à un curé de paroisse
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Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
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Dombidau de Crouseilhes
-
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Lettre aux curés pour le carême
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Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
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Dombidau de Crouseilhes
-
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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a6cdab171c40d00e778925124d97e0ba
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Dombidau de Crouseilhes
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02533f211d7ea3b188d982b7f8d8a454
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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Dombidau de Crouseilhes
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5de384f9943912a5d7b0207d5acec932
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Dombidau de Crouseilhes
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9b2b47042132c9f53333c209dcabf0d2
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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1821_07_18
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Dombidau de Crouseilhes
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1820_10_12
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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1816_09_10
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Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
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Dombidau de Crouseilhes
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Dombidau de Crouseilhes
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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DOMBIDAU DE CROUSEILHES Pierre Vincent - Évêque de Quimper (Pau (Pyr. Atl.) 19.7.1751 - Quimper 28.6.1823). Fils d'un membre du •parlement de Béarn, il fut ordonné prêtre le 23 décembre 1775. En 1788, il devint vicaire général de l'archevêque d'Aix; monseigneur de Boisgelin, qu'il suivit en exil à Londres pendant la Révolution puis, en 1802, à Tours, nouveau diocèse de l'archevêque. Il fut nommé évêque de Quimper le 30 janvier 1805. Sacré à Paris le 21 avril, il entrait dans son diocèse 15 octobre. Il succédait à Mgr Claude André qui, dépassé par les problèmes, avait démissionné au bout de deux ans. Il revenait à Mgr Dombidau de parachever l'organisation du nouveau diocèse. Les nombreux conflits qui éclatèrent entre lui et les préfets, sous l'Empire, ne facilitèrent pas la tâche. Dans le gouvernement du diocèse, il se montra très ferme. La situation du clergé était te : celui-ci était vieilli et désuni. S'il ne parvint pas à réconcilier en vérité les anciens constitutionnels et les insermentés, il réussit une amorce sérieuse de fusion entre les clergés des anciens diocèses de Cornouaille, Léon et Tréguier. Il réorganisa le séminaire, pour lequel il obtint en 1817 un domaine spacieux dans l'ancien enclos des Calvairiennes. La pénurie dans le clergé, durement ressentie sous l'Empire, s'atténuait progressivement: au cours de ses cinq dernières années d'épiscopat (1818-23) l'évêque ordonnait 150 prêtres. On peut cependant lui reprocher d'avoir, par des ordinations hâtives, négligé la formation intellectuelle des séminaristes. Il rétablit le collège de Léon, réintroduisit le clergé diocésain dans celui de Quimper, favorisa le travail de nombreuses écoles presbytérales : ces institutions fournissaient des sujets au séminaire. Il établit un petit séminaire à Pont-Croix l'année même de sa mort en 1823. Il obtint le rétablissement de nombreuses communautés féminines d'enseignantes et d'hospitalières. Le rétablissement des missions se fit pacifiquement dans le diocèse, à l’exception de Brest où, en 1819, il fallut s’interrompre les exercices en raison violentes manifestations d'hostilité. L'évêque établit les fabriques et esquissa l'organisation d'un système financier qui se perfectionnera au cours du siècle. On reste perplexe- devant le comportement de Mgr Dombidau avec les pouvoirs politiques. Il encensa vigoureusement Napoléon, et plus .tard, avec la même conviction Louis XVIII. Cette attitude contraste singulièrement avec son caractère autoritaire dans ses relations avec les autorités locales et son clergé. Mais il faut reconnaître que ce double comportement fut singulièrement efficace. Son zèle pour le soutien des régimes se monnaya en faveurs; son autorité, en plan local lui permit de mettre au pas préfets, maires et prêtres récalcitrants. Mais n'était-il pas le disciple de Boisgelin ? Il décéda presque subitement dans son palais épiscopal qu’il était parvenu à récupérer dès 1809. Il avait refusé, quelques mois avant sa mort, l’archevêché de Rouen. <br />Chanoine Jean-Louis Le Floc’h <br /><br />Michel Lagrée (dir.), <em>La Bretagne</em>, Paris : Beauchesne ; Rennes : Institut culturel de Bretagne, 1990 (Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine).
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Lettre au desservant de l'église Saint-Mathieu de Quimper
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1812_05-06
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Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
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Dombidau de Crouseilhes
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Dombidau de Crouseilhes, Pierre-Vincent (1805-1823)
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1D02-4
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1810_10_06
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Dombidau de Crouseilhes Pierre-Vincent
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Dombidau de Crouseilhes